Sans commune mesure

Déroulé :

Nous sommes le 01 et 02 mai.

– Quand le public entre, Guillaume lui propose un verre de communard (un cinquième de crème de cassis, quatre cinquièmes de vin rouge). Il évoque la fête du travail et sa décision de ne pas travailler. Il invite les gens a embarquer….
– Déborah déclenche l’enregistrement d’un chant (réalisé avec la complicité d’Anaya Bini) suivi d’un sorte de sirène de bateau qui annonce que tout le monde est entré
– Antonella (Pénélope) est en train de faire son tricot. Elle parle d’Ulysse. Vincent l’accompagne au violoncelle
– Déborah dessine sa fresque
– Quand Antonella parle d’Ithaque, guillaume raccorde l’écran et déclenche le stop motion en boucle
– Antonella va faire son gratin
– Déborah demande à quelqu’un de l’aider en effaçant son dessin
– Guillaume lève la toile de l’écran pour qu’Antonella vienne faire son discours politicomique et militant autour du travail
– Guillaume tire des prospectus, tractes militants avec un duplicateur à alcool
– « 1 mai » Guillaume lève la toile de projection grâce à un système de poulies comme sur une voile
–  La vidéo commence (6min jusqu’a fondu au noir)
– Déborah demande de l’aide pour finir sa fresque et donne un effaceur dont la pointe bleue a été coupée. Le public est obligé d’effacer.
Déborah déclenche le phare (lampe qui tourne)
–  Vincent se déplace avec le shakuhachi, joue avec la toile et guide le public vers l’extérieur